Élevez une princesse dans le jeu de simulation Princess Maker : Faery Tales Come True, le 23/12 sur Nintendo Switch

Princess Maker est une série de jeu de type « simulateur de vie » qui a vu le jour sur MSX et n’était jusqu’à très récemment jamais sortie en Occident. C’est l’épisode 3, remaster de l’épisode du même nom sorti en janvier 1997 sur PlayStation (Puis SEGA Saturn, Dreamcast et PC) et publié sur Steam pour la première fois en juin 2017, qui va débarquer prochainement sur Nintendo Switch et PlayStation 4 avec sa traduction anglaise (le 19 décembre au Japon et le 23 décembre en Occident).

Dans cet épisode trois intitulé Princess Maker : Faery Tales Come True, le joueur incarne un personnage qui va devoir élever une jeune fille jusqu’à l’âge de ses 18 ans. En réalité, il s’agit d’une fée ayant fait le vœu de devenir une princesse humaine, et il faudra l’aider dans sa quête d’ascension sociale, secondé par une autre fée, Uzu, jamais avare en conseil. Le protagoniste va devoir faire vivre à sa petite protégée une vie de princesse… Ou une vie de labeur. Tout va dépendre des choix qui seront pris par le père adoptif incarné par le joueur, des métiers effectués et des rencontres qui seront faites (avec des personnages qui orienteront l’histoire). Diverses fins sont possibles, plusieurs métiers également. Il faut noter que la jeune fille qu’il faudra élever est doublée par la célèbre seiyuu Yukana Nogami qui a joué de nombreux rôles tels que Kale dans Dragon Ball Super, Meiling Li dans Cardcaptor Sakura, Roxanne dans Astro Boy, Isane Kotetsu dans Bleach, Azusa Yumi dans Soul Eater, Michelle Lobster dans Fairy Tail et bien d’autres personnages que nous avions notamment listés dans cet article.

Par rapport au jeu original, pas grand-chose si ce n’est quelques améliorations du système de jeu et de travail, une prise en charge des écrans HD, une musique réarrangée et une interface utilisateur qui a été modifiée et avec laquelle le joueur pourra switcher (version originale ou nouvelle version). Attention, le jeu n’est pas traduit en français, il faudra donc maîtriser l’anglais pour apprécier ce titre.