Test Nintendo Switch d’A.O.T. 2 : Final Battle (L’Attaque des Titans), la taille ne compte pas

L’effet réseaux sociaux des années 2010 aidant, avec ses moult critiques d’épisodes, analyses, théories, spoils potentiels et commentaires, Shingeki no Kyojin, que ce soit en version papier ou anime, est sans aucun doute l’œuvre du genre la plus adaptée au web 2.0 de la décennie. En cause, et c’est bien la force de ce manga, le mécanisme de son récit aux mystères et révélations en millefeuille, allié à une réalisation et une mise en scène dynamiques et immersives, magnifiées, dans la version anime, par une interprétation des seiyuu en symbiose avec l’ambiance fataliste de cette histoire.

Un premier jeu proposé (pas sur console Nintendo) par Omega Force et Koei Tecmo en 2016, prometteur mais limité dans son contenu, notamment parce qu’il ne reprenait que la première saison de l’anime, présentait un beat them all énergique et particulier en raison des déplacements via ce fameux équipement tridimensionnel. Le duo développeur/éditeur sort A.O.T. 2 en mars 2018, revenant sur la seconde saison, sur les événements depuis le début et s’avançant très légèrement déjà sur le nouveau chapitre avec toujours ces joutes en mode Spiderman Steam Punk.

La troisième saison de l’anime s’étant achevée très récemment, quoi de plus logique que de publier à la fois un DLC payant venant compléter A.O.T. 2, mais aussi une nouvelle édition complète du jeu comprenant ce contenu additionnel, baptisé Final Battle et prenant elle aussi quelques légères avances sur ce qui va suivre ? Le fan est heureux, le novice aussi, sauf s’il s’agit d’être intransigeant sur la technique, toujours en retrait, d’autant plus sur Nintendo Switch. Et comme dirait Jean-Jacques le Titan, ROOOOOOOAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!

Un test rédigé par Chozo.


Mange tes morts

Des humains, des manigances politiques et religieuses, des trahisons, une menace mortelle extérieure incarnée par d’horribles titans de plusieurs dizaines de mètres de haut et prétendument invincibles, des murs gigantesques pour préserver l’humanité, une volonté d’explorer ce qui se trouve au-delà du mur… Dans ce postulat de base d’une civilisation survivant au huitième siècle d’une uchronie fataliste et mystérieuse, tout rappelle forcément l’américain Game of Thrones, notamment dans les deux premières parties du récit racontées dans la version originale d’A.O.T 2. Et ce qui était craint par tout le monde finit par arriver. Un titan colossal, accompagné d’un acolyte à la cuirasse impénétrable, percent le premier mur de la cité et permettent de faire entrer les monstres qui dévorent la population comme on croquerait dans un Kinder Bueno.

Ne spoilons pas les non-connaisseurs, disons juste que cet événement engendre une volonté de vengeance et de découverte de tous ces mystères chez les protagonistes de L’Attaque des Titans, notamment Eren, désireux de rejoindre le bataillon d’exploration de l’armée pour s’opposer à ces monstres en mode frontal. Pour ce faire, les humains ont inventé ce qu’ils appellent l’équipement tridimensionnel, un système de grappins propulsés au gaz et permettant à la fois de virevolter au milieu des bâtiments et de s’agripper aux titans, pour atteindre leur point faible matérialisé par leur nuque, qu’il faudra trancher via des lames rétractables. Et tout le gameplay du titre, en tout cas pour sa version originale, se greffe autour de ce mécanisme permettant d’alterner déplacements rapides dans les airs et combats en mode beat them all à quinze mètres du sol.

Premier constat déstabilisant du mode histoire, le joueur n’incarnera directement pas les héros de la saga, mais un combattant personnalisé, ayant vécu les mêmes atrocités qu’Eren, Mikasa ou Armin et les ayant accompagnés dans leur formation. Ce choix peut s’expliquer de deux manières. D’une part, pour les connaisseurs de la série et surtout du premier jeu, le nouveau personnage permet de revivre l’histoire connue, mais avec un point de vue différent, de manière à éviter la redite déjà exploitée autant dans l’anime que dans A.O.T. premier du nom. D’autre part, l’immersion, que ce soit pour les novices ou pour les habitués, se ressent encore plus, donnant l’impression que c’est le joueur lui-même qui est au beau milieu des protagonistes, vivant les mêmes expériences qu’eux et les soutenant dans leur combat.

Il s’agit en fait d’impliquer l’utilisateur au maximum, d’autant plus que c’est ce personnage inconnu qui narre les événements, précieusement retranscrits dans son carnet d’exploration. Les batailles y sont ainsi mises sur papier, mais aussi les interactions parmi les héros de l’histoire, avec lesquels le joueur aura de nombreuses discussions, sous-titrées en français, aux réponses à choix multiples. Bien que ces réponses n’aient finalement que très peu d’impact sur la suite du récit, ces passages permettent d’approfondir les personnalités de chacun, tout en créant des liens d’amitié, octroyant de nouvelles compétences à l’avatar.

C’est l’Historia de la vie

Que les fans de la série, manga ou anime, se rassurent, cette entorse à l’histoire n’entame absolument pas la fidélité de l’ensemble à l’œuvre d’origine, avec un effort tout à fait remarquable quant à l’intégration de ce personnage à l’univers, sans chambouler les événements clés de l’aventure. Il faudra passer forcément par une légère réécriture de certains pans du récit, ou changer l’angle de vue de certaines scènes, mais sans que cela n’ait d’incidence notable.

Surtout, ce changement de regard sur l’histoire permet également d’approfondir des passages ayant laissé une part d’inconnu, notamment lors de batailles et explorations se déroulant en parallèle dans l’anime. L’éditeur de l’avatar se fait également dans ce sens. Même si les possibilités y sont multiples en choisissant la forme du visage, les yeux, les cheveux ou la couleur des vêtements, rien ne déborde de l’esthétique apportée par la saga, en témoigne l’uniforme retouchable que très légèrement, et toujours en raccord avec le design général, quelle que soit la couleur qui lui a été attribué.

Pour le gameplay, le même respect du matériau de base a été appliqué dans les déplacements tridimensionnels. Le plaisir de parcourir les environnements comme l’homme araignée se ressent rapidement, la sensation de vitesse et de liberté aidant beaucoup. Rien de compliqué n’en ressort d’ailleurs. B pour sauter, Y pour lancer les grappins, le stick pour orienter les déplacements, le tout reste très accessible et fluide. Nul besoin de se demander exactement à quel endroit les grappins viennent se fixer, à l’image de la figure emblématique de Marvel, le tout est de profiter des envolées grisantes. Le constat est le même lors des combats avec les titans, avec une notion de timing et d’angle d’attaque venant ajouter un peu de piment.

En mode attaque, il faut donc atteindre les points faibles (genoux, coudes et évidemment nuque) de l’ennemi en lui assénant un bon coup de lame au bon moment. Entre L pour verrouiller un titan, X pour s’agripper au point faible et re-X pour trancher au bon moment le membre, un peu d’entrainement est nécessaire. Cela semble important, ne serait-ce que pour apprendre à esquiver les ripostes des grands bonhommes avec B, qui permet de pousser une légère accélération en l’air et d’éviter un coup de torgnole, ou une chope qui risque de finir en casse-croute pour le titan. Si celui-ci attrape le héros, une phase de QTE est imposée pour se dégager, apportant sa dose de tension supplémentaire. Cette tension se démultiplie avec les titans déviants, clairement plus résistants et malins, dont il faut aussi surveiller les phases de furie, leur donnant une agilité et une vitesse plus difficiles à anticiper.

Cela se corse lors des explorations hors des murs, loin des bâtiments où l’on peut s’agripper. En dehors des espaces boisés, c’est à cheval que s’affrontent les monstres, avec la possibilité unique de ne pouvoir planter ses grappins que sur leur chair. Il faut aussi compter sur l’usure des lames et la diminution du niveau de gaz de l’équipement, à renouveler rapidement avec le matériel porté sur soi, ou via les postes de ravitaillement à rejoindre et à construire en plein champ de bataille. Ces postes peuvent également prendre la forme de tours offensives, donnant la possibilité d’engager des attaques à distance. Il s’agit ici de cibler un monstre via une longue-vue et de le viser pour lui balancer un bon vieux coup de boulet de canon des familles, histoire de le déséquilibrer et, peut-être même le capturer, pour les expériences sordides de Hansi.

Enfin, dernier moyen de se débarrasser de la menace, le système d’assistance démontre que la solidarité entre combattants est d’une importance capitale. Ainsi, en mode attaque, il est possible de faire appel jusqu’à quatre camarades d’escouade, à recruter en cours de combat, qui assèneront une attaque combinée dévastatrice, via les boutons de la croix directionnelle.

Mikasa es Tu Casa

Comme rapidement évoqué plus haut, en plus des points d’expérience gagnés en combat servant à améliorer les compétences de l’avatar, des points d’amitié sont également là pour être accumulés et donnent cette petite dimension RPG au jeu. Outre la force, la santé, la concentration ou encore l’agilité, d’autres capacités se débloquent uniquement via les interactions avec les autres personnages. En tissant des liens toujours plus étroits, soit en discutant, soit en partant en mission annexe avec eux, l’affinité engendrée améliore aussi l’impact des attaques combinées des personnages de soutien, tout en débloquant des améliorations particulières, comme des mouvements d’esquive et de contre-attaques classieux.

Les armes et équipements peuvent également s’améliorer, et c’est dans les magasins que ces nouveaux jouets s’acquièrent. Le stock gonfle en réussissant les missions (de l’histoire principale comme des quêtes annexes), en gagnant en influence dans la cité au travers de l’option « Ailes de la Liberté », un système de directives proposées et votées pour améliorer la vie de l’humanité (phases de repos, phases d’entraînement, nouvelles structures à construire), ou encore en capturant les titans. Ces armes et équipements peuvent d’ailleurs être améliorés ou combinés pour en créer d’autres, le tout étant fait à la fois pour gagner en puissance, mais aussi pour donner la liberté de choix au joueur, engendrant toujours plus d’immersion grâce à son implication directe à l’univers.

Le tout vient remplir une durée de vie déjà conséquente dans cette première partie du jeu, avec un mode histoire atteignant la vingtaine d’heures, saupoudrée de cinématiques reprenant les scènes clés du récit. À cela se rajoutent les missions d’exploration indépendantes de l’histoire principale, mais aussi le mode bonus, aux missions coopératives ou en compétition en ligne, ainsi que le mode Géhenne, une version difficile de l’histoire réservée aux plus chevronnés. L’ensemble, bien que parfois répétitif dans ses combats, se traverse avec un plaisir de jeu évident, même si cet aspect est privilégié au détriment d’une technique et d’une esthétique certes fidèles, mais relativement pauvres.

Outre des animations plutôt réussies, que ce soit auprès des membres du bataillon d’exploration comme des titans, retenons surtout des environnements bâtis très génériques malgré leur destructibilité, et surtout une zone extra-muros plutôt vide et impossible à différencier. Sur Switch, les concessions graphiques ont semble-t-il été nombreuses pour que le titre tourne de manière satisfaisante, que ce soit en mode téléviseur comme en mode portable. Simplistes et à la distance d’affichage limitée, les décors englobent des combats parfois toussotants de framerate en présence de beaucoup d’ennemis et de combattants à l’écran, sans pour autant que cela soit préjudiciable pour le côté épique des parties.

Ces petits soucis techniques ne font en effet pas le poids face à l’immersion apportée par la direction artistique en Cel Shading très respectueuse du manga, au point que même le sang coule largement à flots (une option désactivable dans les paramètres) dès qu’un titan rencontre une lame. Seule ombre au tableau, la bande-son, ne reprenant aucun des morceaux emblématiques de la saga.

Armin a Free, il a tout compris

Arrive donc ce contenu additionnel avec une toute nouvelle édition du titre d’origine. Contrairement aux deux premières saisons vues au travers du regard d’un combattant inconnu, le côté immersif de ce procédé est ici balayé (ce qui paraît logique, compte tenu de la continuité de la narration du jeu dans sa globalité et la destinée de ce personnage créé). Le mode supplémentaire, baptisé « Épisode du Personnage », ne vient en effet pas se greffer directement au mode histoire, mais est bien une fonctionnalité indépendante. Les deux parties de cette troisième saison se font donc en contrôlant en alternance les héros de la saga, entre Livaï, Mikasa, Armin, Jean ou évidemment Eren.

Ce mode enchaîne les passages marquants de ce troisième chapitre via une timeline aux triples embranchements, alternant phases de bataille, combats annexes venant, comme dans les missions précédentes, donner un peu de contenu à des scènes parallèles à l’histoire principale, et cinématiques reprenant la mise en scène de l’anime.

Terminées les interactions entre les personnages ou l’acquisition de compétences et d’équipements, ce mode va directement à l’essentiel, au prix d’un certain abandon de l’immersion ressentie jusque-là. La fidélité du récit prend également un coup, avec certaines missions remplies par des personnages différents de ceux vus dans l’œuvre originale, bien que l’ensemble reste largement intéressant à suivre. Car sur le champ de bataille, les scènes épiques se poursuivent avec de nouvelles possibilités de gameplay, notamment avec l’arrivée des armes à feu et de l’équipement tridimensionnel anti-humain, permettant de tirer les grappins depuis l’avant-bras. Ce dispositif autorise aussi d’opérer plus à distance, surtout dans les joutes contre les ennemis non-titans. Ces phases différentes des combats habituels, même si elles sont ultra dynamiques, souffrent cependant de l’inadaptabilité du cadrage de la caméra du jeu, avant tout pensée pour les batailles contre des grands dadais de quinze mètres. Ici, les ennemis humains virevoltent à la même vitesse que le personnage contrôlé et sont suffisamment petits pour donner énormément de fil à retorde, ne serait-ce que pour verrouiller une cible et lancer l’attaque adéquate dans le bon timing.

En manque de lisibilité, ces scènes laissent également heureusement la place aux guerres contre les titans, permettant l’alternance entre lames, pistolet, mais aussi la nouvelle arme destructrice amenée par cette nouvelle saison, les lances foudroyantes. Puissantes et pratiques d’utilisation, ces roquettes/bombes à lancer pratiquement manuellement ajoutent une goutte de spectaculaire bienvenue, après des combats contre les humains moins enthousiasmants. Les victoires remportées dans ce mode « Épisode du Personnage » ont leurs conséquences dans les autres modes du jeu, notamment dans la partie histoire, où les éléments récoltés permettront de créer de nouvelles armes.

Mais c’est sur l’autre fonctionnalité inédite apportée par ce DLC que l’impact est le plus important, puisque les personnages vaincus dans l’arc narratif de la troisième saison se débloqueront dans ce mode « Reconquête de Territoire ». Cette partie du jeu permet à l’utilisateur de diriger un bataillon d’exploration missionné pour regagner une zone jusque-là confisquée par les titans. Attention ici cependant, il ne faut pas chercher une quelconque cohérence avec l’histoire du manga, tant la composition du bataillon permet de mélanger les personnages des différentes saisons et époques, qu’ils soient vivants ou non.

En tant que gestionnaire de l’escouade, le joueur peut choisir son commandant, qui sera également son personnage jouable lors de la mission. Il est possible de recruter en cours de partie les personnages les plus marquants de la saga, parmi ceux débloqués dans « Épisode du Personnage ». Malgré les choix de commandant à la volée et la personnalisation du bataillon, ces décisions n’influent en rien les missions, qui se résument malheureusement toujours au même schéma de destruction d’un titan déviant au milieu d’autres monstres.

Ces missions limitées en tours s’arrêtent en cas de pénurie de matériel, amenant l’escouade à revenir aux baraquements. Le tout s’enchaine de manière très répétitive, et ne sert finalement qu’à rallonger la durée de vie d’un DLC vendu… CINQUANTE EUROS lorsqu’on possède déjà la version de base du jeu. Une hérésie, tant le contenu, certes sympathique et venant compléter l’histoire, n’a à aucun moment la possibilité de justifier un tel tarif. Une dizaine d’heures pour le complément de l’histoire, quelques heures supplémentaires pour inspecter les bonus plutôt anecdotiques, Final Battle ne se conseille que si l’on ne possède pas le jeu d’origine, en achetant le pack complet, au prix d’un jeu AAA.

 

Conclusion : PEUT-ÊTRE !

S’il y a bien une chose qu’on ne peut enlever à A.O.T. 2 : Final Battle, c’est bien cette volonté des développeurs de respecter l’œuvre adaptée. Direction artistique (hormis la musique), narration, personnages, immersion, tout a été réfléchi pour être avant tout destiné aux nombreux fans de la série, en tout cas pour le jeu original. Outre quelques errances techniques et une répétitivité intrinsèque au genre beat them all, le titre peut d’ailleurs tout à fait être conseillé même à ceux n’aillant pas suivi les aventures du bataillon d’exploration. Mais le DLC Final Battle peut faire l’objet de nombreuses interrogations. Même si la troisième saison de l’anime est proprement retranscrite, ce contenu additionnel témoigne de bien moins de prises de risques que le jeu original, se limitant à enchaîner les missions, dont certaines, contre les humains, deviennent parfois pénibles. Les bonus de tous ces nouveaux personnages jouables et le mode « Reconquête de Territoire », trop limités en intérêt, n’y changeront rien. Ce DLC est nécessaire pour les fans, mais bien trop cher pour se l’offrir lorsqu’on possède déjà la version d’origine. Une contradiction malheureuse, nombreux étant les amoureux de la saga ayant déjà investi dans le premier titre, ceux-ci ne seront certainement pas prêts à rajouter la valeur d’un jeu complet pour avoir la totalité des trois saisons. Des A.O.T. 2 en occaz’ chez le revendeur du coin, il risque d’en débarquer plus vite que des titans.

LES PLUS : 

+ L’univers et le ton Shingeki no Kyojin parfaitement adaptés
+ L’immersion renforcée par l’avatar du mode histoire
+ Les phases d’exploration et de combat grisantes
+ Les gameplay aléatoires renouvelant l’aventure
+ Les trois saisons dans un jeu
+ Une durée de vie étonnement longue
+ La dimension RPG bienvenue

 

LES MOINS :

– Un DLC sans prise de risque
– Techniquement et graphiquement en retrait
– Répétitif
– Les combats contre les humains frustrants
– Manquent les musiques originales
– Des spoils sur ce qui suit la saison 3
– Le prix de ce DLC !

_______________________________________________________________

Le système de verdict de Nintendo-Difference repose sur trois niveaux :

– OUI ! (nous recommandons l’achat de ce titre, peu importe quel joueur vous êtes : vous l’apprécierez, à condition de ne pas être hermétique au genre ou à l’univers). Le Oui accompagné du ND Award récompense les titres soit exceptionnels que vous devez acheter quoiqu’il arrive, soit ceux nous ayant provoqué de gros coups de coeur !

– “Peut-être” (nous recommandons de bien lire le test avant d’acheter le jeu, car il peut ne pas correspondre à tout le monde, et ce pour des raisons qui peuvent largement être différentes d’un jeu à un autre). Par exemple, un titre peut être tout à fait exceptionnel et obtenir un “Peut-être” parce qu’il se classe dans un genre de niche qui ne correspondra pas à tout le monde alors qu’un autre pourra s’avérer vraiment moyen et à ne réserver qu’aux puristes du genre ou aux fans inconditionnels (comme dans le cas d’une adaptation par exemple).

– NON (nous ne recommandons pas l’achat de ce jeu). Trop mauvais ou trop cher pour ce qui est proposé.

Nous avons abandonné l’idée des notes, car celles-ci n’aident en rien à faire un choix, avec ce système vous savez si vous pouvez acheter les yeux fermés, s’il faut bien lire le test pour savoir si le jeu peut vous convenir ou s’il faut tout simplement s’enfuir.

  • Nintendo-Difference

    par Draco

    le 26 juillet 2019 à 9:36

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