Bomberman

En résumé

  • Sorties :
  • 1 Juillet 2005
  • 21 Juin 2005
  • 19 Mai 2005

L'avis de Goonpay

Bomberman est un achat obligatoire en multi ; seul, c'est une question de goût. On peut toujours pratiquer les duels en solo mais la confrontation humaine est toujours plus palpitante. Disons que ce Bomberman se place au bon moment, pouvant facilement rivaliser avec les autres softs actuellement en vente et que, quoiqu'il en soit, son acquisition ne devrait pas vous décevoir.

Les plus

  • le mode multi, certainement le plus abouti de toute la série avec le '8 joueurs wi-fi'
  • l'utilisation simple mais amusante des possibilités de la DS

Les moins

  • Le mode solo (dommage de pas avoir refait un mini-rpg comme sur l'épisode GBA)
  • Nintendo-Difference

    par Goonpay

    le 29 novembre 1899 23:50

Pas une seule console, ou presque, n’a pu échapper au poseur de bombes, et le double écran de Nintendo ne sera pas resté à l’abri des explosions très longtemps ! Après des passages mitigés au “sport” et au kart, Hudson nous ressert un bon vieux Bomberman comme à l’ancienne. Pas si démodé que ça le “White Bomberman” !

Et on ose se plaindre de Mario !

“Sauvez des princesses… tssss, ridicule ouais !” Eh bien que pensez-vous de “M.. mais… il est passé où le scénar’ ??”. Lors de la petite scène d’intro du mode Aventure, on comprend vaguement qu’un diamant, en se brisant, aurait laissé pénétrer le mal dans le monde de Bomberman (Peace Town ?). Mais tout ceci n’est que supposition, le manuel du jeu n’en fait pas mention et le folio est bien complet donc…Ceci dit, l’intérêt principal de Bomberman ne réside pas dans son histoire, ni même dans son mode solo. Ce dernier reprend le schéma des anciens Bomberman avec des niveaux où il faut éradiquer des ennemis différents en fonction du monde parcouru, chaque zone s’achevant par un boss. 10 zones différentes, 10 niveaux par zone, le solo se finit en 2-3 heures, en prenant bien son temps. On peut regretter qu’Hudson n’ait pas refait un RPG comme pour Bomberman Tournament sur GBA !

Multi, wifi, c’est parti !

Vous l’aurez compris, ce Bomberman tire donc son épingle du jeu grâce à son mode multijoueurs, et quel mode ! Jusqu’à 8 joueurs avec une seule cartouche, des paramétrages de partie très complets, impossible de passer à côté de Bomberman si vous avez des amis.

 Un boss bien hideux !

 Gare aux réactions en chaine!

Sachez désormais qu’il existe 3 manières de remporter la victoire : le combat classique, la course à la couronne et le combat de sol.
Pour le premier, il suffit d’anéantir vos adversaires. Pour le second, une couronne est placée dans le labyrinthe, le vainqueur est celui qui l’attrape en premier. Et pour le dernier, il s’agit tout simplement d’une conquête de territoire, l’explosion de vos bombes colore les dalles et celui qui a la plus grosse masse de couleur à la fin du temps l’emporte (semblable à un mini-jeu de Mario Party).

#row_end Vous pouvez également choisir de combattre en équipe, d’activer les Jackpots (permet d’obtenir des objets avant le début de la partie) et la Vengeance (une fois mort, vous avez la possibilité de lancer des bombes à partir du chariot placé en bas de l’écran, et si vous tuez quelqu’un, vous pouvez échanger vos places, selon le niveau de vengeance).

Le tout pouvant se dérouler sur plus de 30 niveaux, si les paramètres sont sur “random”, les parties s’enchaînent et ne se ressemblent jamais. Les apports de la DS

Le passage au double écran pour le mode multi est à la fois troublant et jouissif. Pour devenir un exterminateur de premier ordre, il faut réussir à avoir l’oeil sur les 2 écrans pour placer/jeter/pousser les bombes à la fois sur l’écran du haut et du bas. Une fois la dernière minute entamée, le bas devient inaccessible, et l’ensemble des concurrents se trouvant sur un seul écran, la partie s’enflamme rapidement. Pour le mode solo, seul l’écran du haut est utilisé, le bas servant à configurer son Bomberman.

Le stylet quant à lui est très peu utilisé, pour valider ses réglages en solo, et lancer les bombes en multi en ‘Vengeance’. Réellement, on pourrait même dire qu’il nuit quelque peu au plaisir : en solo, il n’est pas évident de changer rapidement de menu et de bouger son perso, en multi, de reprendre son petit crayon alors qu’il ne reste que quelques secondes avant de disparaître.
Intéressant, le capteur de son qui permet, selon le réglage, d’activer son bouclier, de poser une bombe, de la faire exploser… On en vient vite à crier un peu partout, la folie et les éclats de rire s’installent rapidement.

Le wifi, moteur essentiel du jeu à plusieurs, est un véritable bijou. Quel pied d’entendre ses “ennemis” hurler de frustration dans la pièce voisine parce qu’ils viennent de mourir, de pouvoir continuer la partie dans toutes les positions, même dans les pièces les plus… solitaires !

 En multi, le jeu prend

 vraiment toute sa dimension

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