Dead or Alive Dimensions

En résumé

  • Sorties :
  • 20 Mai 2011
  • 24 Mai 2011
  • 19 Mai 2011

L'avis de Manmedaz

Dead or Alive Dimensions est ce que l’on en attendait, si on omet l’utilisation purement esthétique de la 3D, que beaucoup n’utiliseront pas, au profit de la vitesse d’affichage de 60 images par secondes en 2D. Il faudra également compter avec des modes offline un peu trop faciles pour les habitués et, surtout, un online qui lague un peu trop souvent. Ceci étant dit, le jeu est l’un des plus complets et des plus beaux de la toute jeune ludothèque 3DS. Que ce soit pour découvrir la série ou pour la compléter, Dimensions est donc un indispensable à tout fan de jeux de combat, même s’il a ses tares.

Les plus

  • Des graphismes très jolis
  • Le casting DoA au grand complet
  • Une pelleté de modes de jeu
  • 1000 figurines à débloquer
  • Contenu SpotPass riche
  • Toute l’expérience DoA dans votre poche

Les moins

  • Framerate diminué de moitié en 3D
  • Peu de difficulté hors-ligne pour les habitués
  • Online trop enclin à ramer
  • Nintendo-Difference

    par Manmedaz

    le 23 mai 2011 22:00

Plus de cinq ans après le précèdent volet, Dead or Alive revient se castagner sur 3DS. Grande première, puisque si c’est la première fois que la série arrive sur une console portable dans sa forme classique, c’est surtout la première fois qu’elle pose les pieds sur une console Nintendo. Au menu de ce nouvel épisode, un best of de tout ce qui a fait le succès de Dead or Alive depuis sa création. L’ambition affichée par la Team Ninja : faire de Dead or Alive Dimensions la référence de la série, en servant à la fois de point d’entrée pour les nouveaux joueurs, mais aussi de version ultime pour les vétérans. Le résultat est-il à la hauteur ?

De toute beauté

Dead or Alive fait partie, avec Soul Calibur, Virtua Fighter et Tekken, des licences les plus connues parmi le jeu de Versus Fighting 3D. Remise en question après le départ de Tomonobu Itagaki, la série revient donc sur le devant de la scène alors que de nombreux fans attendent avec impatience des informations concernant son hypothétique cinquième volet. Pour patienter, Tecmo et la Team Ninja nous proposent Dead or Alive Dimensions, un épisode qui marque un nouveau départ de la série.

La 3DS semble attirer son lot de jeux de Versus Fighting. DoA fait effectivement suite à un autre cador du domaine, Super Street Fighter IV 3D Edition, disponible depuis fin mars. La comparaison entre les deux jeux semble donc inévitable, notamment sur le plan graphique. Si les deux univers dépeints sont différents de par leur direction artistique, on peut néanmoins raisonnablement affirmer que Dimensions est au moins aussi impressionnant que Street Fighter. Coloré, fin, détaillé, le jeu n’a clairement pas à rougir et se hisse aisément parmi les plus beaux softs 3DS. Les personnages sont très bien modélisés, même s’ils ont été un peu simplifiés par rapport aux précédents volets, notamment au niveau des cheveux des filles. De même, certains environnements ont été revus à la baisse. Par exemple dans Tao, ce niveau au soleil couchant situé en Chine et tiré de DoA 3, les dalles ne se cassent plus lorsque vous projetez votre adversaire contre elles. Enfin, chose très importante, la physique a toujours un rôle essentiel dans le jeu et régira toujours de main de maître le comportement des cheveux, de la jupette et de la poitrine de votre héroïne préférée.

En 3D, le jeu est juste superbe. Celle-ci se révélant profonde et précise, et est mise en valeur par les différents angles pris par la caméra au cours d’un combat. On notera cependant quelques errements. Illustrons cela avec un exemple précis, celui du niveau Tempête de Neige. Pour simuler la tempête de neige, le développeur applique tout simplement un filtre sur le jeu. Ce filtre n’est autre qu’une animation donnant l’illusion de flocons de neige tombant dru sur l’environnement. En 2D, l’illusion est parfaite car il est impossible de voir la profondeur des éléments. Cependant, en 3D ce filtre a une profondeur fixe et n’est donc logiquement pas en relief. Cela est particulièrement visible après la fin d’un combat, lorsque l’on voit un personnage de près et qu’il se trouve plus proche de l’écran que le filtre, tout en étant derrière lui. D’autres petits défauts de ce genre sont visibles çà et là et, mais ils ne gêneront finalement que les plus pointilleux.

Si l’on ignore ces quelques soucis somme toute mineurs, la 3D pose un autre problème bien plus important pour le joueur : la chute du framerate. En effet, si en 2D le jeu tourne à 60 images par secondes sans souci, c’est une autre paire de manches en 3D. Une fois celle-ci enclenchée, le framerate tombera à 30 images par secondes, voir même sensiblement moins dans les niveaux les plus chargés tel que 999 Mètres, ou lorsque surviendront de grosses explosions. Il convient cependant de préciser que c’était déjà plus ou moins le cas dans Steet Fighter, celui-ci tournant initialement à 30 images par secondes en 2D et 3D, à moins de le forcer en 2D via les options et ainsi passer son framerate à 60 images par seconde. C’est donc un souci récurrent sur les jeux disponibles depuis la sortie de la 3DS, et qu’on aimerait voir disparaître rapidement. Quoi qu’il en soit, si pour le plaisir on jouera à DoA en 3D, on passera en 2D dès qu’il sera question de performance.

Enfin, toujours sur le plan graphique, deux autres petits soucis sont à noter. Tout d’abord à propos des vidéos inclues dans le mode Chroniques, dont nous parleront plus loin. Celles-ci, tirées des anciens épisodes du jeu, montrent de temps à autre les signes d’une compression mal adaptée par le biais d’artefacts MPEG – ces gros carrés que vous apercevez parfois sur les vidéos de basse qualité, surtout lorsqu’elles sont sombres. Pour finir, sachez qu’en 2D le jeu souffre particulièrement d’aliasing. Si cela ne gênera pas la majeure partie des joueurs, tout comme les questions de framerate, il reste indispensable de le préciser.

Fight !

Dead or Alive est un jeu de Versus Fighting, et combattre est la seule chose que vous ferez dans le jeu. Il est donc important que ceux-ci soient non seulement intéressants, mais aussi riches, profonds et abordables tant sur le plan du gameplay que de la technicité. En cela, on peut d’ores et déjà dire que DoA est une grande réussite. Le gameplay est extrêmement aisé à prendre en main, et même le joueur débutant prendra très vite son pied. Contrairement à des jeux faisant appel directement à des techniques plus poussées, DoA se base sur des actions simples décomposées en trois catégories distinctes et complémentaires, l’attaque, la projection et le contre. L’attaque permet d’empêcher que l’ennemi nous saisisse pour effectuer une projection, la projection permet d’attraper l’ennemi qui essaye de contrer nos coups, et le contre permet de parer une attaque et de faire énormément de dégâts à l’adversaire. Ces trois actions s’effectuent soient vers le haut, soit en position normal, soit en position accroupie. Voici en deux phrases l’essence des combats de Dead or Alive, sa clef résidant dans le timing des attaques, et la vitesse de réaction aux mouvements de l’ennemi. Au-delà de la simplicité de son gameplay, DoA demande beaucoup de pratique pour découvrir les coups les plus efficaces dans chaque situation et contre chaque type d’adversaire.

Du côté de la maniabilité, DoA est pour ainsi dire beaucoup plus aisé à prendre en main que Street Fighter. Là où ce dernier vous demande d’effectuer un grand nombre d’arc de cercles, ici vous n’en aurez que très peu à faire, ce qui importe étant la direction et le bouton pressé. Deux sont utilisés pour les attaques (poing et pied), un autre pour les projections et le dernier pour la garde ainsi que pour le contre, lorsque qu’il est pressé en même temps qu’une direction (en général vers l’arrière). Les gâchettes, quant à elles, simulent une double pression poing/pied pour la gauche et protection pied pour la droite. Enfin, détail important, l’écran tactile sera utilisable de deux façons. La première est en affichant quelques statistiques sur vos combos et vos dégâts. La seconde, bien plus fonctionnelle, est en affichant tout simplement la liste complète des coups de votre personnage. Vous aurez ainsi le loisir de naviguer à travers celle-ci et de les sélectionner d’une pression, votre combattant se pliant à vos désirs et l’effectuant alors. Détail amusant, si vous utilisez ce système lors d’un combat contre un humain, celui-ci sera mis au courant de vos agissements via un icône qui apparaîtra à l’écran. Dans les faits, ce système est très ingénieux et rend le jeu bien plus abordable. Vous apprendrez ainsi bien plus vite à maîtriser un personnage, et vous vous passerez très rapidement de l’utiliser en plein combat, vous contentant d’effectuer vous-même les combos et la consultant du regard au besoin. Bien entendu, elle peut permettre à certains malins d’effectuer certains coups en chaine, mais, contrairement à Street Fighter, elle ne casse pas le jeu en diminuant les temps d’attente entre deux coups. De plus, les coups étant plutôt simples à sortir, elle n’avantage pas vraiment le joueur qui l’utilisera, perdant ainsi en rapidité de réaction pour contrer et saisir son adversaire. En comparaison avec les précédents épisodes, le gameplay de Dimensions se rapproche beaucoup du quatrième épisode. Des modifications subtiles ont cependant été apportées grâce notamment à l’intervention des meilleurs joueurs de DoA, conviés par la Team Ninja dans leur locaux, afin de leur donner leur ressenti. Dans l’ensemble, les combos sont prolongés par le rebond de votre adversaire au sol, et les enchaînements sont donc parfois très longs. En revanche, il sera possible de contrer tous les coups à partir du moment où vous avez les pieds au sol, même en plein milieu d’un enchaînement. Ce balancement donne donc un caractère extrêmement dynamique aux combats et évite qu’ils ne soient trop hachés.

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Story of my life

Le grand avantage de ce nouvel épisode, c’est qu’il propose de façon très peu altérée une grande partie du contenu des précédents opus. Une quinzaine de niveaux par-ci, quelques costumes par-là, l’intégralité du casting de la série, soit 26 personnages – dont un accessible par une manipulation spécifique à l’écran de sélection des personnages… Bref, les fans seront aux anges. Pour les autres, cet épisode constitue un excellent point d’entrée dans la série, à commencer par le mode Chroniques. Celui-ci est la grosse nouveauté de Dimensions. Au cours de 5 chapitres – soit un par épisode de la série plus un dernier consacré à l’un des personnages centraux – vous en apprendrez ainsi plus sur les relations entre les différents protagonistes de la séries et sur le rôle de la DOATECH. Ce mode est construit autour de vidéos en images de synthèse tirées des précédents épisodes, mais aussi de nombreux passages utilisant le moteur du jeu. Ceci étant, vous serez également acteur de l’histoire, et devrez régulièrement combattre les différents protagonistes du jeu, de façon justifiée ou pas. Outre le fait qu’il raconte l’histoire chaotique du jeu, le mode Chronique est également parsemé de tutoriels très bien faits, permettant au joueur de comprendre petit à petit toute la profondeur du jeu. Les tutoriels sont d’ailleurs présents dans tous les chapitres de ce mode, accentuant l’impression que celui-ci n’est en fait qu’un préambule destiné aux nouveaux joueurs. Le joueur aguerri, lui, n’y trouvera qu’un mode très facile lui permettant de se rafraîchir la mémoire et indispensable pour débloquer plus tard quelques personnages. On pestera cependant contre le déséquilibre des chapitres. Si les deux premiers sont relativement intéressants à suivre, les suivants semblent parfois n’être que des enchaînements de combats, le dernier étant en plus de cela un peu répétitif et décousu. Dommage car l’idée était très bonne.

Fort heureusement, le Dimensions possède une pelleté d’autre modes de jeu, à commencer par le mode Arcade. Vous pourrez y débloquer jusqu’à six parcours différents, qui sont en fait des successions bien définies de personnages à battre avec une difficulté croissante. Son principal intérêt est de vous permettre de débloquer tous les personnages autres que les boss (qui sont au nombre de cinq). En effet, vous ne commencerez le jeu qu’avec les neuf personnages présents dans le premier Dead or Alive. Ici donc, pas de vidéo d’intro, ces parcours étant les mêmes quel que soit votre combattant. Un seul but, faire le meilleur temps contre l’ordinateur.

Le mode Survie pour sa part vous propose d’affronter toujours plus d’adversaire. Commençant par un parcours contre 10 adversaires, chaque défi remporté vous donnera accès à un nouveau, jusqu’à un défi vous opposant successivement à 100 adversaires. Vous pourrez ici débloquer les voix des personnages pour annoncer les combats.

Le mode Défi Duo est un reste du mode Tag Battle des épisodes classiques de Dead or Alive. Vous devrez faire équipe avec une IA dirigée par la console ou avec un humain, si vous jouez en réseau local ou sur internet avec un ami. Votre but sera de remplir un total de 20 missions de plus en plus difficiles. Celles-ci vous opposeront à un ou deux adversaires, qui posséderont des barres de vies bien plus importantes que la vôtre. Votre seule salut sera donc d’alterner avec l’ordinateur ou avec votre ami afin de récupérer votre vie en arrière-plan et ainsi réussir à vaincre l’ennemi. Pour les vétérans, il s’agira du seul mode de jeu qui vous donnera du fil à retord, surtout dans les toutes dernières missions. S’il est vraiment intéressant, surtout avec un ami, Défi Duo nous fait surtout regretter l’absence d’un mode Tag Battle. Permettre ainsi à quatre personnes de se combattre en Tag aurait été un coup de génie de la part de la Team Ninja, et on ne peut que regretter une telle omission.

Une fois que vous aurez terminé tous les modes précédents, et avant de vous aventurer sur le online, vous voudrez probablement parfaire votre technique. C’est ce qui vous sera proposé dans le mode Jeu Libre, via lequel vous pourrez enchaîner les combats en réglant leur difficulté. À cela il faudra ajouter le mode Entraînement, qui vous donne un contrôle total sur le comportement de votre adversaire et vous permet de vous améliorer de façon beaucoup plus précise sur des phases de jeux particulières, ou tout simplement de combattre un adversaire très fort sans ne jamais mourir.

Enfin, l’un des à-côtés de Dimensions est le mode Vitrine. Tout au long de vos combats dans les divers modes, vous débloquerez de nombreuses figurines. Celles-ci sont au nombre de 1000 et représentent les personnages dans différentes postures. Vous pourrez les utiliser pour mettre en scène les protagonistes de Dead or Alive dans les environnements du jeu et prendre des photos dans des positions originales, d’eux en 2D ou en 3D. Seul hic, impossible de récupérer ces photos autrement que dans le jeu, car elles ne sont pas stockées telles quelles sur la carte SD. Dommage !

You against the world

Depuis l’avènement d’Internet sur les consoles, le must ultime est de pouvoir affronter le monde entier. Cette fonctionnalité est devenue aussi indispensable que le jeu en local, afin de prouver votre valeur face aux autres. Elle est effectivement disponible dans Dead or Alive Dimensions, mais de façon plutôt archaïque malheureusement. Si vous décidez de jouer avec un ami ou de jouer en réseau local, vous aurez le choix soit d’effectuer des combats simples, soit de jouer aux missions du mode Défi Duo avec un partenaire en chair et en os – chose qui aide beaucoup dans les dernières missions.

En revanche, le jeu contre des inconnus est régi par deux paramètres uniquement. Le premier concerne la localisation de votre adversaire. Vous pourrez choisir de jouer soit contre des adversaires situés en France et dans les pays proches, soit dans le monde entier sans distinction aucune. Le second concerne simplement le nombre de rounds du combat que vous souhaitez effectuer – deux, trois, ou peu importe. Après avoir effectué ces choix, la console commencera à chercher quelqu’un répondant à ces deux paramètres. Une fois que vous trouvé un adversaire, vous aurez le loisir de juger son niveau avant d’accepter ou non de le défier. Pour ce faire, vous trouverez la photo de son personnage favori, le ratio victoires/nombre de parties faites pour le jeu en local, le jeu en ligne et les combat StreetPass en duel, et enfin son niveau. Celui-ci est composé d’une lettre entre F et A, puis S, meilleur niveau, avec des palliés entre chaque lettre à la façon de la notation américaine (par exemple entre F et E, vous passerez par les niveaux F+, puis E-).

Une fois que le combat est lancé, attention de ne jamais vous déconnecter, car vous serez sanctionné par la perte de 400 points. Une perte d’autant plus douloureuse quand on sait que vous n’en gagnez généralement que 100 par combat – même si cela peut ponctuellement aller jusqu’à 300 points et plus, si vous jouez particulièrement bien. Et autant être honnête avec vous, il sera parfois difficile de ne pas déconnecter du online. Au-delà de l’habituelle frustration du combat perdu d’un cheveu – attention ne jetez pas vos 3DS ! – se trouve un problème d’un autre ordre, l’optimisation du jeu en ligne. Celle-ci est au mieux inconsistante et vous fera vraiment pester par moment. S’il arrive régulièrement que l’on joue des matchs à 60 images par seconde ou presque, un trop grand pourcentage des combats en ligne lag sévèrement, allant parfois jusqu’à s’arrêter une ou deux secondes avant de reprendre doucement. Si vous désirez vous frotter au online, nous ne pouvons donc que vous conseiller de rester juste à côté de votre box pour bénéficier d’un signal Wi-Fi le plus propre possible. Cela augmentera notablement vos chances de combats fluides, le reste dépendant de votre adversaire. En résumé donc, le jeu en ligne se révèle un peu trop léger de par le manque d’un lobby et l’impossibilité d’affronter plusieurs fois d’affilé un même adversaire, mais sa principale faiblesse reste le lag, beaucoup trop fréquent.

À côté du mode en ligne, deux nouveaux ajouts au jeu sont spécifiques à la 3DS. Le premier est le StreetPass. Celui-ci consiste en des combats classiques, contre le personnage favori de la personne que vous avez StreetPassée. En fonction de son niveau et de ses habitudes, celui-ci sera plus ou moins fort, et utilisera telles ou telles techniques. Un ajout sympatique donc, même s’il ne constituera vraisemblablement pas un argument de vente à proprement parler. Le second ajout, et non des moindres, est le SpotPass. C’est tout simplement un argument commercial énorme. En effet, seuls les premiers acheteurs pourront récupérer gratuitement les 34 nouveaux costumes diffusés par ce biais chaque jour à partir de la sortie du jeu, bien qu’une seconde diffusion soit prévue à partir du 24 juin pour les retardataires. De même, un total de 26 duels StreetPass contre différents développeurs de la Team Ninja sont diffusés chaque semaine à partir du 20 mai jusqu’au 11 novembre. Un argument de plus pour se procurer rapidement le jeu, donc.

Dead, or alive ?

En conclusion, Dead or Alive Dimensions est très alléchant sur le papier. Fort heureusement, il se révèle vraiment plaisant à l’usage, bien que les vieux de la vieille pesteront à n’en pas manquer sur le défaut de difficulté dans les modes de jeu offline. Tout laisse à penser que les divers modes ne servent en fait qu’un seul but, celui d’initier le néophyte à l’univers Dead or Alive dans le but d’ensuite le faire monter en niveau et qu’il termine sur le online avec les autres joueurs. Le pari de de la Team Ninja est presque remporté, si on excepte quelques incohérences scénaristiques du mode Chroniques, mais surtout les trop nombreux soucis qui viendront gâcher votre plaisir une fois en ligne. Dommage, car niveau graphismes, gameplay et contenu, Dimensions se défend vraiment bien, pour peu qu’on y joue en 2D.

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