Deemo arrive le 21 septembre sur l’eShop japonais de la Switch, le premier DLC gratuit prévu pour cet hiver

Annoncée en début de mois, la version Nintendo Switch de Deemo débarquera le 21 septembre prochain sur l’eShop japonais au prix de 3 000 yens. Elle contiendra plus de 200 musiques composées par des artistes japonais et taïwanais (comme pour VOEZ, le développeur Esquadra et Flyhigh Works ont donc décidé d’ajouter directement toutes les musiques dans le jeu, contrairement à la version smartphone, gratuite de base avec une petite partie de l’histoire, qui demande de payer pour débloquer la version complète).

De nouvelles musiques seront ajoutées via un DLC gratuit disponible cet hiver. Une version 1.3 de VOEZ avec de nouvelles chansons est également prévue pour bientôt. En attendant, vous pouvez profiter de la version 1.2. Ci-dessous, vous pouvez visionner une bande-annonce pour la version Switch de Deemo (vous pouvez aussi visionner quelques images en fin d’article).

Concernant la sortie du jeu en Occident, nous savons déjà que CIRCLE Entertainment s’occupera de la localisation, mais la date de sortie n’a pas encore été annoncée. Toutefois, l’éditeur nous avait fait comprendre début septembre que le titre débarquera bien ce mois-ci chez nous, il faut d’ailleurs savoir que VOEZ et Implosion – Never Lose Hope avaient profité d’une sortie mondiale sur Switch (VOEZ était juste sorti une semaine plus tard aux USA, mais en même temps qu’au Japon en Europe). Dans tous les cas, si le jeu ne sort pas en même temps qu’au Japon chez nous, n’oubliez pas que la Switch n’étant pas zonée, vous pourrez acheter Deemo sur l’eShop japonais via une console européenne, américaine ou autre. Si vous ne savez pas comment faire, vous pouvez suivre notre guide disponible ici.

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Deemo est un jeu de rythme déjà sorti gratuitement sur iOS et Android (la version complète devant être achetée) fin 2013, développé par le studio indépendant taïwanais Rayark Games, qui a aussi conçu Implosion – Never Lose Hope et VOEZ sur iOS, Android et Switch (pour le portage sur Switch, c’est le studio Esquadra qui s’en est occupé avec l’aide de Flyhigh Works, de même pour Deemo). À noter que Deemo est aussi sorti sous le nom de Deemo : The Last Recital avec plusieurs nouveautés sur PS Vita le 24 juin 2015 au Japon et le 16 mai 2017 aux États-Unis (une version européenne est prévue pour 2017, sans plus de précisions).

Sur Switch, le jeu sera directement payant, mais toutes les chansons seront débloquées, et d’autres seront ajoutées via des DLC gratuits. Deemo utilise des musiques instrumentales au piano et chansons interprétées par plusieurs artistes japonais et taïwanais. Les morceaux proviennent de différentes régions : Taïwan, Japon, Corée du Sud, Hong Kong… Les chansons sont jouables avec trois niveaux de difficulté : Easy, Normal et Hard. Certaines musiques sont également jouables en mode Extra.

Les contributeurs notables sont le groupe Earthbound Papas (Nobuo Uematsu), le guitariste Shinichi Kobayashi, M2U ou encore Michiyo Honda (qui a notamment collaboré avec Mitsuto Suzuki pour Final Fantasy XIII-2 et avec Hiroyuki Sawano pour Guilty Crown). Le jeu utilise aussi des musiques provenant de Cytus, un autre jeu de rythme développé par Rayark ainsi que des morceaux du RPG Brave Frontier d’Alim. Le site officiel est disponible à cette adresse et vous pouvez aussi en savoir plus sur le Wiki ici.

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Communiqué officiel de Deemo :

« De la même équipe que Cytus, un jeu musical et rythmique acclamé dans le monde entier. Rayark vous propose Deemo, un hybride entre un jeu musical et rythmique et une histoire de fantasy urbaine, avec des graphismes dessinés à la main, une galerie narrative et une bande sonore enregistrée avec un véritable piano.

Deemo est un personnage mystique qui vit seul dans un château. Un jour, une petite fille tombe du ciel, sans savoir ni qui elle est ni d’où elle vient. Pour l’aider à revenir dans son monde, Deemo se rend compte qu’un arbre posé sur un piano pousse de plus en plus à chaque fois qu’il joue de l’instrument. Mais que fera Deemo quand il se sentira à l’aise avec son invitée, lui qui n’en avait jamais eu ? Et si la jeune fille n’arrivait pas à supporter la vérité quand elle retrouvera sa mémoire qui semblait perdue ?! “Il n’est jamais parti sans dire au revoir”. »

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