Le survival-horror Outlast : Bundle of Terror est disponible sur l’eShop, Outlast 2 annoncé pour le 27 mars

Annoncé en décembre dernier, le ditpyque Outlast : Bundle of Terror et Outlast 2 n’avait pas encore de date de sortie précise, jusqu’à… hier 27 février. En effet, le premier épisode a contre toute attente débarqué hier sur l’eShop de la Nintendo Switch, est donc téléchargeable au prix de 24,99 € et nécessite 6 Go d’espace de stockage. Le studio Red Barrels a ainsi confirmé cette disponibilité sur Twitter, avec en prime une bande-annonce de lancement sur la console de Nintendo.

Bande-annonce de lancement de Outlast : Bundle of Terror

Les développeurs ont depuis donné quelques précisions dans les commentaires du tweet ci-dessus quant aux caractéristiques de ce portage. En mode docké, le jeu s’afficherait donc surprenamment en 1008p, un chiffre confirmé plusieurs fois par le studio, et en 720p en mode portable. En outre, il tournera en 30 images par seconde dans les deux configurations.

Et ce n’est pas tout, puisque le second volet, Outlast 2, est affiché sur l’eShop pour une sortie pile un mois après ce premier épisode, le 27 mars prochain. Le tarif de 29,99 € est annoncé, pour un poids de 9,6 Go.

Pour rappel, dans le premier opus, le héros est un journaliste curieux, Miles Upshur, investiguant sur d’étranges rumeurs dans l’asile abandonné « Mount Massive Asylum », il découvre rapidement que le bâtiment a été réhabilité. Une fois à l’intérieur, sa seule option d’évasion est de découvrir le terrible secret de l’établissement. Outlast 2 propose d’incarner le cameraman Blake Langermann, accompagné de sa femme Lynn, journaliste de terrain, qui partent à la rencontre des habitants illuminés d’une ville perdue et cachée dans le désert d’Arizona, Temple Gates. Ils enquêtent sur le meurtre présumé d’une femme enceinte, Jane Doe, ce qui va les conduire dans une obscurité profonde, mêlant la folie à l’horreur, et révélant les pires cauchemars.

Dans les deux jeux, les personnages ne sont pas des combattants et devront se cacher ou courir pour espérer s’en sortir vivant. La licence s’inspire d’ailleurs de la discipline Parkour avec des éléments de plates-formes. Les héros ne peuvent donc pas se défendre, mais ont la possibilité de regarder à travers une caméra pour, par exemple, voir dans l’obscurité. Outlast 1 et 2 se déroulent dans le même univers, mais pas aux mêmes endroits, et affichent des graphismes détaillés et réalistes. Les monstres ne se montrent jamais au même emplacement et au même moment, ce qui contribue à l’immersion horrifique. Enfin, les décors et les personnages de Outlast 1 sont inspirés de réelles folies criminelles et asiles.