Paper Mario : The Origami King

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  • Sorties :
  • 17 Juillet 2020
  • 17 Juillet 2020
  • 17 Juillet 2020

En quelques mots

Invités par la Princesse Peach elle-même, Mario et Luigi se rendent à Toadville dans l’idée de participer à l’Origamifest qui, comme son nom l’indique, se trouve être un festival dédié aux origamis. Pourtant, en arrivant sur les lieux, seule une cité déserte s’offre à nos deux héros. Pis encore, la princesse, pliée contre son gré par une entité malfaisante, envoie notre plombier moustachu aux geôles du château. C’est dans ces mêmes cachots que Mario fera la rencontre d’Olivia, la partenaire principale de cette aventure inédite. Sœur d’Olly, un vil origami derrière tous ces méfaits, elle se met en tête d’arrêter les sombres desseins de son frangin à l’aide du plus notable héros du Royaume Champignon. Et pour cause, Olly entend « origamiser » tous les habitants et terres environnantes pour en être l’unique souverain. Un plan qui aurait pu trouver écho chez un certain Bowser, lequel n’aura cependant pas eu le choix d’accepter ou non cette improbable alliance ; malmené lui aussi, ainsi que ses sbires, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher le roi origami de régner sans partage sur les terres qu’il convoite, quitte à devoir lutter main dans la main avec Mario, son ennemi de toujours. Enrubanné de cinq banderoles géantes, le château de la Princesse Peach se voit déposé sur le sommet d’un volcan. Pour rendre sa liberté à l’édifice, ainsi qu’à sa propriétaire pliée, Mario et Olivia devront se rendre au point d’attache de chacune des banderoles, dispersées aux quatre coins du Royaume Champignon. Relativement classique dans sa forme, l’histoire de Paper Mario : The Origami King l’est aussi dans son fond. Outre devoir traverser cinq mondes pour détruire autant de rubans, lesquels sont bien évidemment protégés par un boss, peu d’éléments scénaristiques viennent perturber un récit cousu de fil blanc. Très linéaire, l’intrigue ne parvient malheureusement pas à se montrer suffisamment intéressante pour se démarquer de ses prédécesseurs. Ni Luigi, ni Bowser n’ont assez gagné en épaisseur pour vraiment surprendre le joueur, malgré une importance un poil plus forte qu’à l’accoutumée. Fort heureusement, Paper Mario : The Origami King a bien d’autres atouts dans sa manche en ce qui concerne son écriture, à la fois comique, subtile et parfois même touchante.

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