Alors que le premier opus se déroulait dans un manoir métaphorique d’un énergumène bien sifflé du bocal, Layers of Fear 2 pose son scénario sur un navire de croisière plus que douteux. Point de Steven Seagal pour sauver le monde, il va falloir se caler les cojones bien solidement pour découvrir l’ambiance poisseuse d’un vaisseau marin dont le style très BioShockien habille les pérégrinations du joueur. Avant le test définitif, cette première incursion d’une grosse demi-heure de ce portage Switch rassure quant à son rendu technique et sonore, pour une aventure qui promet son lot de jump scares bien malsains. Maman, je veux rentrer à la maison.