Notre vidéo de gameplay maison de Dungeons of Dreadrock sur Nintendo Switch

Sorti sur Android, iOS et PC au cours du premier trimestre de cette année, Dungeons of Dreadrock est désormais disponible sur l’eShop de la Nintendo Switch depuis le 12 mai 2022. Une exclusivité console qui se paye au prix fort puisque le jeu est vendu pas moins de 10 € alors que la version PC est proposée sur Steam à seulement 3,29 € et que les versions mobiles sont free-to-play – la désactivation des publicités intégrées coûtant 1,99 € sur iOS et 2,39 € sur Android. Heureusement, une promotion de lancement est actuellement en cours jusqu’au 26 mai 2022 avec 50 % de réduction.

Au-delà de ce positionnement tarifaire discutable, le titre développé par Christoph Minnameier, professeur de game design à la Mediadesign Hochschule (MD.H) de Munich, attire néanmoins immédiatement la sympathie. Sa réalisation et sa direction artistique évoquent ainsi les épisodes 2D de l’incontournable franchise The legend of Zelda, en particulier The Minish Cap, Four Swords Adventure ou le crossover Cadence of Hyrule. Quant au gameplay, il mèle diverses influences pour un résultat fort plaisant.

Si Dungeons of Dreadrock ambitionne d’ailleurs de nous faire revivre les souvenirs des dungeon crawlers d’antan, en pratique il s’éloigne tout de même assez nettement d’un Dungeon Master ou d’un Eye of Beholder, pourtant cités en références. Certes, il est question de parcourir les étages d’un vaste donjon (la Dreadrock Mountain) en se déplaçant « case par case » et en temps réel. Une exploration au cours de laquelle on va être amené à ramasser divers objets, à résoudre de nombreuses énigmes et à occire de vilaines bestioles. Cela dit, on est ici plus proche d’un puzzle game – mâtiné d’aventure et doté d’une dimension narrative non-négligeable – que d’un dungeon RPG pur et dur.

En attendant notre avis définitif lors d’un futur test, on vous laisse toutefois juger de tout cela par vous-même grâce à la vidéo de gameplay ci-dessous qui présente les 27 premiers niveaux du jeu, Joy-Con en mains (car étrangement la manette Nintendo Switch Pro n’est pas reconnue pour le moment). De quoi se faire une petite idée avant de passer éventuellement à la caisse.