Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi

En résumé

  • Sorties :
  • 14 Novembre 2003
  • 5 Novembre 2003
  • 8 Janvier 2004

L'avis de Kiklox

Un bon jeu qui respecte à merveille l’univers des films, c’est simple, on s’y croirait. Malgré tous ses défauts, le jeu vaut son prix, mais si vous êtes plutôt du genre méfiant à l’égard de ce genre de jeu, attendez qu’il paraisse en version d’occasion ou alors tournez-vous vers l’opus précédent, les Deux Tours, déjà disponible d’occasion. Bref, une aventure palpitante et très intéressante à vivre...

Les plus

  • -Graphiquement splendide
  • -Les musiques des films
  • -Le mode coopération
  • -L'ambiance générale
  • -Les missions et les personnages

Les moins

  • -La caméra en mode deux joueurs
  • -Les vidéos saccadées
  • -La durée de vie minable
  • Nintendo-Difference

    par Kiklox

    le 29 novembre 1899 23:50

Lorsqu’un jeu, basé sur un film, lui-même tiré d’un livre, sort sur une console,
on s’attend généralement à un produit sans saveur, ayant pour unique but de
faire tourner les sous. Mais, quand on sait que ce jeu provient d’un studio de
développement suffisamment connu pour sa qualité ou du moins, pour son succès,
on peut toujours espérer quelque chose d’intéressant…

Il est certain
qu’après avoir eu le droit l’an dernier à un Seigneur des Anneaux : Les Deux
Tours assez réussi, du point de vue technique comme du point de vue d’expérience
de jeu, on ne pouvait qu’en attendre plus de sa suite. Alors, pari réussi ?
C’est la question que l’on va se poser, et à laquelle on va tenter de répondre,
le plus clairement possible…


Mon Seigneur, vous avez une sacrée
collection d’anneaux dites-moi…

Pour amorcer ce test, rien de tel
que de se replonger dans l’histoire de ce troisième et dernier volet de la
trilogie du Seigneur des Anneaux. Si vous n’avez pas eu l’occasion de lire le
livre, ni d’aller voir le film, et que vous ne souhaitez pas en savoir plus
avant d’être allé voir le film, vous pouvez vous rendre à la partie qui suit.
(mais vous pouvez lire les deux paragraphes qui suivent, ils ne parlent pas à
proprement parler de l’histoire)

Avec trois chapitres, l’histoire de
J.R.R Tolkien a réussi ce que beaucoup d’autres livres n’ont pas pu faire, c’est
à dire remporter un grand succès et faire vivre tout un univers étendu que les
fans se plaisent à agrandir chaque jour avec leur imagination. Même si l’univers
Héroïc-Fantasy n’a pas été inventé par cet homme, on peut dire qu’il a permis à
celui-là de s’étoffer et donc, l’aider à devenir plus vaste.
Le troisième volet de cette trilogie,
s’intitulant Le Retour Du Roi, aura donc la grande et dure tâche de clore
cette aventure. Ce sera là la « dernière » grande aventure de Frodon, Sam,
Aragorn, Legolas, Gimli, et tous les autres, l’ultime chapitre qui se conclura
par la destruction de l’anneau dans les flammes de la Montagne du
Destin.

Le jeu reprendra donc là où le film, et non le livre, commence.
Car Peter Jackson, le réalisateur des films du Seigneur Des Anneaux, n’a pu
évidemment reproduire à l’identique les évènements des livres. Pensez donc,
comment parvenir à rentrer dans trois heures de vidéos un bouquin que l’on
pourrait surnommer « pavé », comme on le fait généralement pour les livres longs
et gros ? Imaginez en plus, le faire pour trois films qui se suivent, il est
donc obligé que certains passages soient déplacés, voir supprimés. Il était
important aussi de préciser que le jeu se base sur les films, et non les livres,
Electronic Arts ne possédant les droits de
ceux-ci. Mais on pourrait presque dire tant mieux, car pour ceux qui ont vu les
films, il serait étrange de retrouver les personnages importants de l’histoire
avec des visages inconnus et complètements différents dans leur
esthétique.

Nous sommes en Terre du Milieu, un pouvoir maléfique règne
sur ce monde, et sème la terreur sur cette terre. Il s’agit de Sauron, un être
aux pouvoirs extrêmement puissants capable de terrasser tout sur son passage.
Mais cet être fut vaincu jadis, par un roi, le roi du Gondor.
C’est ainsi que Sauron retourna à
l’état d’esprit, liant sa puissance avec un anneau, l’anneau maître que seul
lui, peut contrôler. S’ensuit alors tout ce que vous avez lu ou vu, une
communauté de l’anneau est formée, composée de 4 Hobbits que sont Frodon, Sam,
Merry et Pippin, d’un magicien, Gandalf, de deux hommes, Aragorn et Boromir,
d’un elfe, Legolas et d’un nain, Gimli. Tous partirent en direction du feu sacré
de la montagne du Destin, pour détruire l’anneau porté par Frodon, car seul ses
flammes créatrices peuvent le détruire. La communauté sera dissoute, perdant
ainsi un homme au combat, Boromir, et Sauron devenant chaque jour plus puissant.
Vous épargnant les différentes batailles et évènements du second volet Les
Deux Tours, nous arrivons à l’épisode ultime, celui sur lequel le jeu prend
vie.

L’histoire

Le Retour Du Roi, là où
Frodon et Sam, confrontés à la traîtrise de Golum (ancien Hobbit du nom de
Smeagol, corrompu par l’anneau durant de longues années) se verront envoyés par
un guide sournois dans les endroits les plus dangereux de la Terre du Milieu,
passant de Minas Morgûl, au tunnel d’Arachné. Pendant que Sam et Frodon avancent
chaque jour plus près de la montagne du Destin, Aragorn, Gimli et Legolas
s’avancent doucement dans l’antre des morts, un souterrain dans lequel les
attende une armée de soldats morts tout entière. Aragorn, héritier du trône du
Gondor possédant l’épée du roi détient le pouvoir de contrôler cette armée
d’esprits tourmentés, en leur promettant d’accomplir leur serment, les libérant
de cette mort vivante.
Durant leurs dures négociations avec les
morts, Gandalf, lui, accompagné de Pippin, tente de sauver la cité Minas Tirith,
et par la même occasion, offre à Frodon et Sam plus de temps pour se rendre au
volcan, en faisant office de diversion pour l’œil malveillant de Sauron, qui
surveille attentivement les moindres recoins de la Terre du Milieu.

C’est
ainsi qu’avec persévérance et combats, Frodon et Sam arriveront tous deux
au-dessus des flammes du volcan, mais Golum n’est pas décidé à laisser ceux-là
détruire l’anneau, avec avidité alors il se jète sur Frodon et lui arrache le
doigt où l’anneau se trouvait, tenant l’anneau dans sa main, Frodon, pour le
récupérer, se jette sur Golum et le pousse, avec l’anneau, dans la lave.
L’anneau détruit, tout ce qui fut construit avec et pour lui disparaît. Sauron
est détruit donc, et tous les Orcs meurent à leur tour.

Un anneau
pour les gouverner tous….

Le jeu, à son ouverture, propose un
menu classique et très simple contenant un mode solo, coopératif, un sous menu
pour les options et un sous menu presque sans intérêt qui vous propose de revoir
le générique. Sur fond de menus, une image de Minas Tirith assez jolie d’une
teinte orangée vous accueillera, ainsi qu’une très grande musique, tirée bien
évidemment du film, qu’est celle que l’on peut entendre lors des passages au
Rohan, une musique très celtique.

Nous allons tout d’abord nous attarder
sur le mode un joueur, qui est le point le plus important du jeu avec la
coopération. Le jeu se divise donc en trois parties bien distinctes, pour ceux
qui ont lu les paragraphes ci-dessus, vous comprendrez donc que ces trois
parties représentent trois chemins différents, que vous emprunterez donc
obligatoirement pour pouvoir arriver à la montagne du Destin, qui est votre
destination finale.
Mais le choix vous est proposé et on
apprécie l’initiative, car ces trois chemins retranscrivent des évènements
différents, qui se déroulent en parallèle les uns des autres mais qui
aboutissent finalement au même point.

On aura donc le choix entre
incarner Gandalf et Pippin, qui se devront de défendre Minas Tirith pour
repousser l’attaque ennemie, Aragorn, Gimli et Legolas pour tenter de convaincre
les morts de combattre à vos côtés, et Frodon et Sam pour tenter d’arriver aux
flammes du Mordor.
Trois chemins liés donc, représentés comme une immense
fresque murale elfique dans un menu très bien réalisé.
Les premiers niveaux
seront plus qualifiés de tutoriaux, car en effet, ceux-ci se terminent
rapidement et sans grosses difficultés, mais sachant qu’il y a environ quatre
niveaux à emprunter avec Gandalf, cinq avec le groupe d’Aragorn, et quatre avec
Frodon, il y a de quoi faire.

Un anneau pour les
trouver…

Avec ces trois chemins, que sont le « Chemin du Magicien
», le « Chemin du Roi » et le « Chemin des Hobbits », la durée de vie du jeu
pourrait paraître suffisamment grande pour qu’on puisse passer de longues
journées dessus. Mais parfois les apparences sont trompeuses, et c’est pourquoi
on préfèrera citer le plus gros point noir du jeu en premier, avant d’en
ressortir les qualités. La durée de vie du jeu est vraiment très, voir trop
courte, comptez près de cinq ou six heures pour le finir en solo, et à peu près
la même chose pour le mode coopératif, soit une douzaine d’heures en tout, ce
qui est pitoyable par rapport à d’autres jeux du genre, tel Viewtiful Joe
de Capcom. Mais il est vrai que tout de même
dans la majorité des jeux en Beat’em all la durée de vie est leur plus gros
défaut.
Bref, une déception à ce niveau qui sera sûrement rattrapée par les
atouts cachés du jeu.

#row_endMais ne voyons pas que du mal en ce jeu, non, on
devrait même y voir presque que du bon, notamment au niveau des graphismes, car
là on peut l’affirmer, Electronic Arts a fait de l’excellent travail, on
reconnaît sans mal les personnages des films, bien que leurs visages soient
figés (leurs bouches ne bougent pas lorsqu’ils se mettent à parler), l’important
ne réside pas dans leurs émotions faciales, car on ne les observe quasiment que
de dos. Mais l’effort est à souligner tout de même, et il en est de même au
niveau des décors.

Bien que parfois certains ne
respectent pas à l’identique ceux des films (derrière la porte noire, on devrait
pouvoir observer l’œil de Sauron, mais il a été remplacé par la montagne du
Destin, de même que devant cette porte, normalement il n’y a que de la terre, et
non des débris d’une ancienne tour), on a le plaisir de retrouver les lieux
importants modélisés en 3D. Pour ceux qui n’ont toujours pas vu le film, sachez
que cela vous permettra de vous faire une idée de ce que sera le film, sans pour
autant savoir ce qu’il va se passer, une bonne chose donc.

Donc,
graphiquement il n’y a rien à redire, malgré le fait que lorsqu’il y a trop de
brume ou trop d’explosions, le jeu perd en fluidité et commence à marcher
doucement au ralenti, le contexte étant tellement bien rendu, on en oublie
presque ces petits problèmes de mémoire. Qui plus est, les effets de flammes
sont de très bonnes factures, et les dégâts provoqués par les explosions vous en
mettront plus d’une fois dans les mirettes.

Un anneau pour les
amener tous…

Le jeu en lui-même est un vrai plaisir à prendre,
sauf pour ceux qui sont hermétiques aux jeux d’actions bourrins où il faut
appuyer comme un fou et sans arrêt sur les boutons de la manette. Mais il est
vrai qu’envoyer de bonnes roustes aux Orcs et aux fantômes fait du bien, cela
détend, non pas que la violence soit une bonne chose, mais c’est garanti effet
boule anti-stress.
Quasiment tous les boutons du pad GameCube
sont pris en compte, le bouton A, Y et X servant à donner des coups d’épée ou de
hache selon différents angles, le B offrant la possibilité au joueur de se
protéger contre les offensives ennemis, que ce soit pour parer les violents
coups d’épée ou pour dévier une flèche de sa trajectoire, ce bouton vous sera
très utile, car c’est avec lui que vous parviendrez à rester en vie. Le bouton Z
lui permet d’actionner des éléments au cours du jeu, ceux-ci étant représentés
par un cercle bleuté de marque Noir Parler du Mordor sur le sol, ils désignent
parfois des objets à pousser (des tonneaux que vous renversez sur des ennemis,
ou des pierres, ou des torches, ou bien encore des sots de lave) pour éliminer
plus rapidement des ennemis, ou des engrenages à actionner, pour ouvrir soit des
portes, soit des grilles ou des ponts.
Quant aux boutons L et R, ceux-ci vous
servent à vous mettre en furie, ou à vous cacher sous une cape, afin d’attaquer
l’ennemi sans qu’il vous repère. Le bouton R permet aussi d’achever un ennemi au
sol en lui plantant une lame dans le corps. Un coup très utile contre les
araignées ou les Orcs, tandis que le bouton L, lui, permet de tirer à distance,
avec un arc, ou en lançant des haches et bâtons.
La croix directionnelle
n’est pas prise en compte, sauf lorsque vous appuyez vers le bas, elle fera
bondir votre personnage en arrière, pour éviter de souffrir trop lorsque vous
serez encerclés par les ennemis.

Le jeu propose aussi une pointe de jeu
de rôle, avec un système d’expérience à glaner, ainsi plus vous tuez d’ennemis,
plus vous gagnez des points qui s’accumuleront dans votre barre d’expérience. A
la fin d’un niveau, le jeu fait le calcul de vos points de compétence que vous
avez remportés, et vous classe par la même occasion, les niveaux allant de
pas mal à parfait. Votre classement dépend de la manière dont vous
tuez les ennemis, plus vous en tuez d’affilé, plus vous avez de chance d’obtenir
le mode parfait (en pressant L et R simultanément, vous déclencherez le mode
furie qui accélèrera l’obtention de ce mode), et ainsi permettra de faire des
coups ramassant énormément de points.
C’est ainsi que vos personnages
évoluent et gagnent des niveaux, et plus votre personnage possède un rang élevé
(cela va du niveau 1 à 10, sachant que vous pouvez aller au-delà de 10, mais
cela n’apportera rien à votre personnage), plus il a la possibilité d’utiliser
des coups puissants, et d’apprendre de nouvelles techniques, que vous pouvez
acheter à l’aide de vos points de compétence.

Ces techniques sont des
nouveaux coups, qui sont en fait des sortes de combos, il faudra savoir manier
habilement la manette et connaître les combos par cœur pour pouvoir les
effectuer sans difficulté. (par exemple, pour effectuer le “Tranche Orc”, il
faut appuyer consécutivement sur A, A et Y)
D’autre part, vous pouvez aussi améliorer
votre arme de distance, qui est un arc pour la plupart de personnages du jeu,
sauf pour Gimli qui possède de petites haches, Gandalf, qui tire des boules
magiques avec son bâton et les Hobbits qui se servent de bâtons. En les
améliorant, ceux-ci changent de couleur, et diffusent une lumière bleue, orange,
rouge ou verte, et ont parfois la possibilité d’empoisonner l’ennemi, de le
brûler ou de le tuer instantanément. Plus votre niveau sera élevé, plus vos
projectiles seront puissants.

Et dans les ténèbres les
lier.

Electronic Arts ne voulant pas rebuter des acheteurs
potentiels avant la sortie du film en mettant des images et des vidéos
directement tirées de celui-ci, dévoilant ainsi des passages phares et important
du film, les développeurs ont fait en sorte de ne mettre aucun élément qui
pourrait gâcher ce plaisir.
On peut donc féliciter ce geste, mais on
peut aussi tout de fois déplorer la qualité des vidéos, qui sont tout simplement
médiocres. La qualité n’étant déjà pas au rendez-vous, ils auraient pu faire un
effort du côté de la fluidité, et l’on a rapidement envie de sauter ces séances
de suplices… et heureusement c’est possible.

Par contre, les admirateurs
des musiques d’Howard Shore trouveront leur bonheur car de ce côté-là ils seront
servis. Les musiques entraînantes viennent ponctuer les moments forts du jeu,
comme dans les moments forts des films, on s’y croirait presque. Lorsque vous
effectuez une action importante, la musique peut changer du tout au tout, et
c’est un des points forts du jeu, la musique permet au joueur de s’immerger
rapidement dans l’action. Il n’y a cependant rien d’autre à ajouter sur la
musique, elle est tellement bien orchestrée qu’on a pas envie de s’exprimer
dessus.
Il en est d’ailleurs de même
pour les bruitages, les voix des doubleurs français sont presque toutes
présentes, on regrette que celle de Golum soit si mal doublée, mais on ne peut
pas tout avoir. Cependant, les effets sonores, tels que les explosions, les
flèches, les catapultes, les cris des Orcs ou des Trolls sont les mêmes que dans
les films, donc pas d’inquiétude de ce côté-là.

Le jeu recèle aussi de
plusieurs surprise pour les vrais adorateurs de cet univers et des films de
Peter Jackson. A la fin de chaque mission, vous débloquerez des bonus, tels des
interviews des acteurs (Christopher Lee, Elijah Wood…), des dessins
préparatoires, des extraits, les codes secrets du jeu pour ne plus avoir à se
compliquer la vie à refaire tout le jeu avec sueur, et aussi des niveaux bonus,
tel le Pallantir de Saroumane, un niveau sur quatre étages sur lesquels vous
serez confrontés à des hordes d’ennemis, des Orcs, des fantômes, des
Trolls….
Une bonne chose que les développeurs ont bien fait d’ajouter, et on
félicite leur geste.

Pour finir, on s’attarde sur le mode coopératif, qui
reprend les bases du mode solo, avec seulement une mission de moins qu’est celle
du Gouffre de Helm, qui est une mission tutoriale lorsque l’on joue seul. Mis à
part cela, le jeu est identique, on retrouve les trois chemins différents, les
mêmes vidéos, et les mêmes bonus. L’avantage est donc dans le titre du mode,
vous pouvez jouer avec un ami, et un seul, pour « former votre communauté » et
vaincre en équipe les pantins de Sauron, ainsi que Sauron lui-même.
Il est vrai que cette méthode de jeu est
très agréable à jouer, mais les angles de caméra ne sont pas réellement prévus
pour deux joueurs, ainsi, lorsque l’un se bat contre un ennemi à gauche de
l’écran, et l’autre à droite, il y a des confusions, car souvent l’ennemi sort
de l’écran, et donc de la portée de l’arme. Un problème énervant sur le coup,
mais que l’on oublie bien vite avec le temps et la pratique, on s’y habitue
rapidement en fait. Mais sans ce mode coopératif, le jeu aurait été un peu fade,
et Electronic Arts a compris la leçon, et c’est une bonne chose, mais cela
aurait mérité d’être plus approfondi, avec peut-être une division de l’écran en
deux lorsque les joueurs sont trop loin l’un de l’autre.

Vous ne
passerez pas ! En fait, peut-être que si…

Alors, Le Seigneur
Des Anneaux : Le Retour Du Roi, le jeu, cela donne quoi ? Un bon jeu, pas un
grand, ni un moyen, ni un mauvais, un bon jeu, un jeu auquel on aime faire
plusieurs parties, même après l’avoir fini, faire des parties seul ou à deux,
c’est un jeu amusant, et c’est le but de tout jeu vidéo non ? Sur ce point,
Electronic Arts a fait fort, plus fort que dans Les Deux Tours, et c’est
tant mieux, on attendait cependant un peu plus du mode coopératif, mais bon, on
trouve déjà de quoi faire avec, et tous ceux qui ont appréciés les livres ou les
films vont sûrement apprécier ce jeu, même si on peut le classer dans les jeux
défouloir et un peu trop bourrin, on prend du plaisir tout de même.

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