Diddy Kong Racing DS

En résumé

  • Sorties :
  • 20 Avril 2007
  • 7 Février 2007
  • Non renseignée

L'avis de Tails

Diddy Kong Racing DS, sans foncer droit dans le mur, fait quelques dérapages l'empêchant d'atteindre le statut de très bon jeu. La réduction de la difficulté du mode Aventure est une des énormes erreurs du jeu, affectant ainsi sa durée de vie. Le mode Solo ne présentera alors que peu d'intérêt, surtout pour ceux qui connaissent déjà l'original. L'ajout du mode Online est à saluer et permet de passer du bon temps, mais il aurait gagné à être encore amélioré. Diddy Kong Racing DS se place tout de même en bon complément de Mario Kart DS au rang des jeux de courses loufoques et amusants, mais ne fait malheureusement pas honneur a celui qu'il a pris pour modèle.

Les plus

  • Le concept du mode Aventure.
  • Les modes LAN et online.

Les moins

  • Un jeu beaucoup trop facile.
  • Une durée de vie bien courte, surtout seul.
  • Le mode online aurait pu être encore amélioré.
  • Nintendo-Difference

    par Tails

    le 17 février 2007 23:00

Du Rare sur DS ? Si si, c’est possible ! Bien que la marque ait été
rachetée, Microsoft ne voit pas d’un trop mauvais œil le fait que son
petit protégé développe sur la portable du concurrent, puisqu’il n’a
rien à y perdre. Mais bon, il ne faudrait pas exagérer non plus, c’est
pourquoi nous avons droit à un remake d’un jeu sorti il y a déjà
presque 10 ans sur Nintendo 64, le dénommé Diddy Kong Racing !

Une petite révolution

Diddy Kong Racing DS, comme son nom l’indique, n’est donc pas à
proprement parler une nouveauté. La plupart des ingrédients qui ont
fait le succès du jeu lors de sa sortie initiale a été gardéé, avec en
prime quelques ajouts pour faire passer la pilule. Pour ceux n’ayant
pas touché le chef-d’œuvre de Rare dans sa version originale, une
petite présentation s’impose.
Plus ou moins concurrent de Mario Kart
64, Diddy Kong Racing innovait surtout dans sa façon de voir le mode
Solo. Là où la plupart des jeux de courses se contentent de vous faire
suivre une série de parcours afin de gagner des trophées, Diddy Kong
Racing proposait un mode Aventure. Dans ce mode, vous êtes lâché sur
une petite île aux commandes de votre véhicule, et vous pouvez vous
balader où bon vous semble. Les courses sont quant à elles réparties
dans différents mondes, tous reliés à l’île. Il était donc possible de
se balader entre chaque course, et plus ou moins de les faire dans
l’ordre que l’on voulait. Ainsi, si vous en aviez marre d’un monde,
vous pouviez tout à fait vous arrêter en cours de route et tenter de
réussir une autre course dans un autre monde. Ce petit ajout a permis à
Diddy Kong Racing de se démarquer des autres jeux de courses, notamment
Mario Kart. Sans non plus bousculer toutes les habitudes que l’on
possédait, ce mode Aventure donnait un nouveau souffle à un genre qui
tournait un peu en rond.
Bien évidemment, ce mode a été conservé pour ce remake. De loin, ceux
qui ont joué à l’original verront que presque rien n’a changé. L’île a
certes été un peu modifiée, mais globalement, il s’agit toujours du
même endroit. Le scénario n’a pas non plus bougé d’un iota, mais
n’avait de toute façon que peu d’importance. Bref, les habitués ne
seront pas dépaysés, et les autres rentreront vite dans le bain.
Vous devez donc parcourir l’île à la recherche de ballons, vous
permettant d’ouvrir les portes menant aux courses. Certains sont cachés
dans les environs mais la plupart s’obtiennent en terminant premier de
chaque course. Le principe n’a pas non plus changé : chaque monde
contient quatre courses, où il vous faut être premier afin d’affronter
le boss du monde. Après avoir remporté la course contre le boss, vous
avez droit à une nouvelle épreuve dans les quatre courses (on en
reparlera, d’ailleurs). Vous affrontez alors une dernière fois le boss,
et enfin vous obtenez une pièce de l’amulette de Wizpig qui vous
permettra d’aller l’affronter.
Les courses qui vous sont offertes,
de leur côté, sont très variées et intéressantes. Cependant, chaque
course respecte le thème du monde : ainsi, les courses du monde des
dinosaures ont un thème préhistorique, et celles du monde de la neige,
un thème hivernal. Ce qui fait que, globalement, on ne voit pas
énormément de changement dans les paysages entre les courses d’un même
monde, tandis que chaque course de Mario Kart offre un environnement
relativement différents des autres courses. Mais bon, ce n’est qu’un
détail, et les courses restent très intéressantes à jouer.
Pour
parcourir les différentes courses, et c’est une autre nouveauté
qu’avait apporté Diddy Kong Racing, vous aurez à votre disposition un
kart, un hydroglisseur et un avion. Attention, il n’est pas possible de
choisir le véhicule dans le mode Aventure, chaque course possède un
véhicule qui lui est déjà assignée, mais en mode Course simple, vous
pourrez choisir celui que vous désirez. Évidemment, chaque véhicule se
conduit d’une façon différente : le maniement du kart ressemble à ce
que l’on connaît, tandis que l’hydroglisseur a une façon très
personnelle de gérer les virages, sans oublier l’avion qui… vole
(étonnant, non ?), apportant sur le coup un joli renouveau à la façon
de jouer.
Bref, de ce côté, le mode Solo de Diddy Kong Racing DS a
tout pour plaire, puisqu’il a gardé les ingrédients qui ont fait son
succès. Le mode Aventure repose sur une très bonne idées et les
différentes courses sont très amusantes à parcourir, sans compter la
diversité des véhicules qui ne gâche rien. Bien sûr, le jeu n’est pas
un simple portage puisqu’il apporte son lot de nouveautés. Tout
d’abord, de nouveaux personnages sont apparus : Conker et Banjo,
désormais propriété exclusive de Rare, ont été remplacés par Dixie et
Tiny Kong (qui porte d’ailleurs très mal son nom à présent). De plus,
Taj et Wizpig font désormais partie des personnages débloquables.
Ensuite, le système des objets s’est vu opérer un petit ajout. Ce
système est différent de celui de Mario Kart puisqu’il ne se base
absolument pas sur le hasard, et fonctionne avec des ballons de
différentes couleurs, vous permettant de savoir à coup sûr sur quel
objet vous aller tomber. Les courses possèdent désormais des petits
jetons que vous pouvez ramasser. Une fois un de ces jetons en votre
possession, une pression sur la touche X « upgradera » l’arme que vous
possédez vers un stade supérieur. Le missile se transformera en
triple-missile tournant autour de vous à la manière des carapaces de
Mario Kart, et le boost se transformera en pilote automatique, vous
permettant de ne rien faire pendant quelques secondes. Enfin, il existe
quatre courses inédites que vous pouvez débloquer, avec d’autres
petites choses, à l’aide de pièces disposées sur les parcours. Ces
pièces remplacent d’ailleurs les bananes qui vous donnaientt un peu de
vitesse, ce qui est sans doute un peu dommage mais pas alarmant.
Diddy
Kong Racing DS innove donc assez peu puisqu’il reprend tous les
éléments de son grand frère sans quasiment rien changer. Le mode Solo
ne présentera donc peut-être pas beaucoup d’intérêt pour qui possède la
version Nintendo 64, d’autant que ce mode a subi un gros lifting qui ne
va pas plaire à tout le monde…

L’avion reste le véhicule le
plus amusant

Diddy Kong Racing pour les nuls

Ceux qui ont touché à la version 64 bits le savent : Diddy Kong Racing
était un jeu très difficile. Nombreux sont ceux qui se sont arrachés
les cheveux pour réussir à battre certains des Boss, sans compter le
combat final contre Wizpig. L’épreuve des pièces d’argent, qui
consistait à refaire chaque course en collectant 10 pièces réparties
sur le parcours, n’était pas une balade de santé non plus. Il fallait
en effet collecter toutes les pièces, parfois posées très loin du
parcours normal de la course et faisant ainsi perdre du temps, mais il
fallait également terminer premier ! Autant dire que le challenge était
de taille, surtout que vos adversaires étaient coriaces.
Si vous faites partie de ceux qui ont balancé leur manette après avoir
perdu pour la vingtième fois contre cette saloperie de pieuvre,
réjouissez-vous ! Avez Diddy Kong Racing DS, vous allez pouvoir enfin
mettre sa pâtée à cet animal de malheur. En effet, Rare (ou Nintendo,
allez savoir) à décidé de bien réduire la difficulté du jeu, afin qu’il
soit accessible à tous. Si on ne remarque pas grand chose lors des
premières courses, la supercherie apparaît dès le combat contre le
premier boss : alors qu’il fallait le bombarder de missiles et utiliser
des boosts à foison pour réussir à passer devant dans le jeu original,
il suffit ici de conduire tranquillement sans se prendre de mur pour
parvenir à distancer dès les premières secondes le tricératops qui sert
de Boss. Et ça continue ensuite : en conduisant relativement
correctement, vous n’aurez aucun mal à les battre. Il faudra sans doute
recommencer deux, trois, voir quatre fois pour certains, mais au bout
du compte, le challenge n’a rien à voir avec l’original. Même le dragon
du quatrième monde, qui s’amusait à partir avant vous, attend ici bien
sagement que le départ soit donné.
On retrouve cette baisse de
difficulté également dans les courses : vos adversaires sont loin
d’être aussi motivés qu’avant. Peut-être parce qu’ils ont vieilli de 10
ans, ils ne vous poseront aucun problème pour les dépasser. #row_endBien sûr,
vers la fin, ça ne sera pas aussi simple qu’au début, mais avec un tout
petit peu d’acharnement, on finit par y arriver sans trop forcer.
Le
comble reste quand même la suppression pure et simple de l’épreuve des
pièces d’argent. Si elle est encore disponible en dehors du mode
Aventure (mais la réussir ne vous apportera rien), à l’intérieur, elle
est remplacée par une épreuve qui n’a plus RIEN à voir avec la course.
Après avoir battu le boss pour la première fois donc, vous devez
refaire toutes les courses avec le « Touch Challenge ». Vous l’aurez
deviné, Rare a voulu utiliser les capacités tactiles de la DS pour
remettre le jeu au goût du jour. Le principe est simple : vous êtes sur
le tapis de Taj, et ce tapis se déplace dans la course suivant un
chemin prédéfini sur lequel vous n’avez aucun contrôle : tout ce que
vous pouvez faire, c’est tourner la tête. Votre but est alors d’éclater
les ballons disséminés sur le parcours en les touchant simplement. On
touche les ballons, et voilà, c’est tout. Pour réussir l’épreuve, une
médaille de bronze suffit, c’est-à-dire réussir à éclater à peu près ¾
des ballons. Vu qu’ils sont tous très bien cachés, il faut VRAIMENT le
faire exprès pour rater l’épreuve. Bien qu’elle ne soit pas déplaisante
à jouer, le fait qu’elle soit beaucoup plus simple et moins amusante
que l’épreuve des pièces d’argent reste en travers de la gorge.
Tout
ceci a une conséquence : le jeu se termine très rapidement. Bien qu’il
possède pas mal de courses (4 courses dans chaque monde, et 5 mondes en
tout, sans compter les inédites), on a très vite fait le tour du mode
Aventure vu sa facilité. Même battre Wizpig lors du combat final est
une partie de plaisir, alors que cela relevait (presque, n’exagérons
pas) de l’exploit sur Nintendo 64.
Drôle de décision en tout cas.
Si le jeu original était aussi bon, c’était aussi à cause de sa
difficulté qui poussait réellement à se surpasser. Ici, on nous sert
une version light qui n’est que l’ombre de l’original en ce qui
concerne la difficulté, et c’est franchement dommage. Bien sûr, une
fois le mode Aventure terminé, vous pourrez toujours tenter de battre
vos records ou de réussir l’épreuve des pièces d’argent, mais cela ne
vous apportera rien en dehors de la gloire personnelle. Passons
également très vite sur le soit-disant « éditeur de circuit » qui est
en fait extrêmement limité. Ce dérapage empêche Diddy Kong Racing DS
d’être à la hauteur de son modèle, du moins sur le plan du Solo.

L’éditeur de circuit est
anecdotique

Singeries en ligne

Heureusement, le mode multijoueur est là pour remonter la barre. Vous
pourrez ainsi jouer jusqu’à 8, que ce soit avec une ou plusieurs
cartouches. Bonne nouvelle : les modes et courses à disposition ne
diffèrent quasiment pas, que l’on joue avec une cartouche pour tous, ou
une par joueur. Un bon point, donc.
Au niveau des modes de jeux,
on retrouve bien évidemment la course de base, qui vous permet de vous
affronter sur un des circuits du jeu, en vous tirant dessus avec les
objets pour lutter pour la première place. À l’image de Mario Kart, ces
courses sont très amusantes et prenantes. En dehors de ça, on retrouve
aussi le mode Battle (qui a d’ailleurs totalement disparu du mode
Solo). Deux des niveaux reprennent le principe de Mario Kart : être le
dernier survivant en éliminant ses adversaires avec les objets. Mais
les deux autres vous proposent un autre challenge : l’un d’eux par
exemple, propose d’aller chercher des œufs de dinosaures au centre de
l’arène puis de les amener dans son camp. Il faut alors attendre
quelques minutes afin de les voir éclore, et le premier à avoir fait
éclore trois œufs gagne. Sauf que les autres peuvent venir vous les
piquer pendant qu’ils sont en train d’éclore : il faut donc à la fois
surveiller les autres et aller leur piquer leurs œufs. Une idée
originale qui permet de passer un bon moment.
Pour continuer, on
citera aussi le mode Jetons qui vous place dans un parcours avec pour
mission de retrouver des jetons disséminés un peu partout, avec la
victoire à la clé pour celui qui en trouve le plus. Enfin, le mode Wish
Race permet à chaque joueur de dessiner un circuit afin ensuite d’y
faire jouer tout le monde. Si la chose a peu d’intérêt seul, c’est déjà
plus amusant à plusieurs.
Bref, en réseau local, Diddy Kong Racing DS offre déjà pas mal de fun.
Mais le mieux, c’est l’ajout du mode online qui vous permet de jouer
contre n’importe qui sur la planète, comme dans Mario Kart DS. Il vous
suffit donc de vous connecter pour pouvoir ensuite aller prouver à tout
le monde que vous n’êtes pas là pour plaisanter.
Quelques bonnes
surprises attendent les joueurs déçus par Mario Kart DS. En effet,
certains des limitations imposées par le jeu du plombier ont été ici
bravées. Il est ainsi possible de jouer jusqu’à 6 (contre 4 dans Mario
Kart DS) en même temps, permettant de vérifier le vieille adage « plus
on est de fous, plus on rit ». De plus, il est possible de jouer sur la
totalité des courses, et non pas un échantillon. Cela permet de bien
rallonger l’intérêt du mode Online, puisque le jeu possède tout de même
un bon paquet de courses, bien plus que Mario Kart DS en ce qui
concerne le jeu en ligne en tout cas. Bien sûr, ensuite, à chacun de se
faire son opinion pour savoir s’il préfère les courses de Mario Kart DS
ou de Diddy Kong Racing. Dernière chose, il est possible d’utiliser
tous les objets du catalogue, alors que Mario Kart DS empêchait d’en
utiliser certains.
Au niveau technique donc, Diddy Kong Racing DS
surpasse son concurrent en s’affranchissant de ces limites. Dans les
faits, ça tourne bien aussi : les courses ne souffrent d’aucun
ralentissement, même à 6, et on s’amuse somme toute très
convenablement, même si le manque de communication se fait ressentir
comme dans tous les jeux en ligne sur DS. Cependant, on signalera
quelques regrets concernant le jeu en ligne.
Le premier concerne
l’absence du mode Battle. Bien sûr, il n’était pas présent dans Mario
Kart DS, mais l’inclure ici aurait permis un joli boost de l’intérêt du
mode online. L’autre problème concerne lui aussi les modes
disponibles : vous avez le choix entre « Course unique » et «
Championnat » . Le premier n’a pas vraiment de sens : les joueurs
choisissent une course puis un véhicule, font leur petit parcours, et
puis ça recommence. Encore et encore, sans limite. Autrement dit, on ne
sait jamais qui a gagné, puisque cela peut durer à l’infini. Bien sûr,
quand on joue avec un ami (à l’aide de nos chers codes amis), on peut
toujours se mettre d’accord sur une limite, mais lors de matchs contre
de parfait inconnus, on peut très bien quitter lorsque l’on est premier
au classement général et dire « J’ai gagné ». Un petit manque de
logique de ce côté-là donc, mais rien de bien grave.
Le mode
Championnat corrige le tir mais impose hélas un nombre de quatre
courses, malheureusement toutes tirées d’un même thème (neige,
préhistorique, etc.). Il faut donc faire un choix : soit on tourne en
rond à l’infini avec le choix des courses, soit on est limité en nombre
mais aussi en choix. Sans gâcher complètement le jeu, ces décisions
bizarres font tout de même un peu baisser l’intérêt du mode online,
rendant Mario Kart DS et ses quatre courses par session plus
intéressant de ce côté. Un dernier problème se pose : il est possible
de quitter la course en cours de route sans subir aucune pénalité. Là
où Mario Kart DS vous faisait perdre par forfait, Diddy Kong Racing DS
ne vous fait rien perdre du tout. Il ne sera donc pas rare de voir les
gens en mauvaise posture quitter la course, chose regrettable mais qui
tient plus du comportement des joueurs que du jeu. Enfin bon, ne
boudons pas notre plaisir : jouer à un tel jeu en ligne est tout de
même une belle partie de plaisir.

Le système des ballons
est une bonne trouvaille

Mieux ou pire ?

Au final, le bilan pour Diddy Kong Racing DS est mitigé. Par
rapport à sa version originale, le jeu a été amputé de sa difficulté
légendaire, le rendant alors beaucoup trop facile, et permettant de
terminer le mode Aventure très rapidement, zappant alors l’intérêt du
mode Solo. Il garde tout de même d’autres éléments de la version 64
bits, rendant le tout heureusement très convenable. Le mode Online est
une jolie addition, mais comporte quelques problèmes qui pourrait en
faire reculer certains. Mais pour qui possède une connexion Internet,
ce mode peut s’avérer être très intéressant.
Il est certain qu’il
est très tentant de comparer ce jeu à Mario Kart DS. Cependant, tout
ceci tient plus de l’avis personnel que d’une réelle différence de
qualité entre les deux jeux. Certains préféreront les courses loufoques
de Mario Kart DS, d’autres seront heureux de pouvoir jouer jusqu’à 6
dans toutes les courses du jeu. Une partie préférera un bon vieux
championnat à l’ancienne tandis qu’une autre acclamera le mode
Aventure. Impossible donc de trancher. En toute subjectivité (c’est
mal), je possède une préférence pour Mario Kart DS, mais que ça ne vous
empêche pas de vous tourner vers Diddy Kong Racing DS. Ceux qui ont
d’ailleurs fait le tour du jeu du plombier pourront trouver un souffle
nouveau dans le jeu de Rare.

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